▶ Otherside - Macklemore

Informations Complémentaires

Fiche créée par Loulou06300

Christophe Colomb et ses hommes viennent a peine de découvrir l'Amérique. Terre qu'il prenait pour l'Inde. Dans son équipage se nommait alors un homme O'Connor un espagnole avec un nom de famille anglais. Cet homme tomba amoureux d'une indienne, un sublime amérindienne aux cheveux noirs corbeau et des yeux de la même couleur de ses cheveux. Des yeux qui étaient gorgé d'une impétueuse insoumission. Anya, de son nom, était l'exemple typique de la femme qui sait mener une tribut aux cultures et aux rites différent de celui des européens modernes. Une des nuit fut torride entre l’amérindienne et l'espagnol conquistador. S'en suivit de la naissance d'un petit garçon, Alessandro. Les conquistadors restèrent deux ans sur ses terres puis retournèrent sur le continent Européen. L'O'Connor prit son fils alors âger de 2 ans sur le bateau et ils ne reverra plus jamais sa si gentille mère.

Le gamin grandit dans la faubourg en périphérique de Madrid. Il fut un garçon turbulent et toujours accompagné de sa bande de petit fouteur de merde. Son père c'était marié avec une espagnole du nom de Rodriguez. Mais elle dut prendre le nom de son mari. Alessandro ne la considérera jamais comme sa mère, il n’eut jamais de mère mais ne s'en porta pas plus mal.

Il y eu dans sa grande jeunesse, au environ de 14 ans, un moment bouleversant. En début d'année son père lui acheta un chiot de quelque mois. Un beauceron qu'il lui disait. Le petit le nomma Satan a cause de ses couleurs noirs et feu. Il fut se meilleur ami, son petit chiot à lui. En fin d'année il y eu un grand rassemblement autour d'un bûché ériger, dans le coin gauche du bûché était en saucissonner deux loups qui grognait a pleine dent leur mécontentement d'être dans cette position, incapable de rien faire. Une voix sourde s'éleva, la foule s'arrêta de parler : « Aujourd'hui, mes frères, nous allons déclarez la guerre. Une guerre contre ses sales nuisibles que voici. Les deux loups furent jeter sans vergogne sur la bûché et lâchant un petit couinement de douleur. Ses affreuses bêtes prennent toutes les toutes nos terres, nous devons les éradiquer. » Et le feu s'embrassa brûlant vif les pauvres bêtes qui hurlait de douleur, leur peau cuisant à petit feu. Alexandre prit alors conscience que les loups ne méritait pas autant de haine, que la paix était tout a fait possible.

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